Face à l’absence de réponse et après plusieurs semaines d’intense mobilisation, plusieurs dizaines de parents d’élèves ont été contraints de déposer 50 recours contre le ministre pour défaillance de l’organisation du service public.
J’apporte mon entier soutien aux actions entreprises par les parents d’élèves et incite toutes celles et tous ceux qui défendent l’école publique et laïque de ce pays à participer à cette mobilisation.
Cette démarche doit faire entendre raison à Luc CHATEL qui s’obstine à nier les conséquences dramatiques des 40 000 suppressions de postes dans l’éducation nationale ces trois dernières années.
L’absence de remplaçants dans les écoles de notre département prive chaque jour des centaines d’élèves d’apprentissages fondamentaux. Ce Ministre n’aime pas l’école, mais ce sont les élèves qu’il contraint à faire l’école buissonnière.
Pire, cette politique fragilise l’école publique et réduit à néant les efforts considérables réalisés par les personnels des établissements et les collectivités locales pour améliorer le quotidien au sein des classes.
Dès le mois de janvier dernier, j’alertais le Ministre de l’Education nationale sur la situation catastrophique des écoles primaires de la Seine-Saint-Denis et lui demandais l’instauration d’un moratoire sur les suppressions de postes d’enseignants prévues.
Communiqué de Claude Bartolone
Président du Conseil Général
Député de la Seine-Saint-Denis
J’apporte mon entier soutien aux actions entreprises par les parents d’élèves et incite toutes celles et tous ceux qui défendent l’école publique et laïque de ce pays à participer à cette mobilisation.
Cette démarche doit faire entendre raison à Luc CHATEL qui s’obstine à nier les conséquences dramatiques des 40 000 suppressions de postes dans l’éducation nationale ces trois dernières années.
L’absence de remplaçants dans les écoles de notre département prive chaque jour des centaines d’élèves d’apprentissages fondamentaux. Ce Ministre n’aime pas l’école, mais ce sont les élèves qu’il contraint à faire l’école buissonnière.
Pire, cette politique fragilise l’école publique et réduit à néant les efforts considérables réalisés par les personnels des établissements et les collectivités locales pour améliorer le quotidien au sein des classes.
Dès le mois de janvier dernier, j’alertais le Ministre de l’Education nationale sur la situation catastrophique des écoles primaires de la Seine-Saint-Denis et lui demandais l’instauration d’un moratoire sur les suppressions de postes d’enseignants prévues.
Communiqué de Claude Bartolone
Président du Conseil Général
Député de la Seine-Saint-Denis
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