Le groupe des élu-e-s socialistes et républicains d'Aubervilliers condamne les violences que subissent des femmes à Hassi Messaoud, en Algérie. Depuis plusieurs jours, des femmes ont été attaquées, volées, torturées, violées et menacées de mort par des groupes d’hommes armés. De telles exactions avaient déjà eu lieu la nuit du 13 juillet 2001, où plusieurs dizaines d’hommes avaient pris part à un véritable lynchage, durant lequel des femmes avaient été agressées, torturées et violées.
Là encore, ces violences se sont concentrées contre des femmes seules, venues travailler dans cette ville pétrolière. Ces réactions cruelles et brutales illustrent les violences auxquelles les femmes doivent faire face lorsqu’elles remettent en cause les dominations et inégalités qu’elles subissent. Le travail, l’indépendance, l’autonomie des femmes, ne sont toujours pas acceptés et parfois brutalement combattus.
Au contraire, ces comportements atroces à l’encontre des femmes semblent être considérés comme acceptables, au regard de l’indifférence et de l’inertie des autorités locales. Cette ville dont provient une part importante du pétrole exporté est pourtant censée être très sécurisée. Il est inadmissible que de telles agressions aient lieu sans que les pouvoirs publics algériens ne s’emparent de cette situation afin de réprimer les violences, et garantir les libertés et droits des femmes.
Là encore, ces violences se sont concentrées contre des femmes seules, venues travailler dans cette ville pétrolière. Ces réactions cruelles et brutales illustrent les violences auxquelles les femmes doivent faire face lorsqu’elles remettent en cause les dominations et inégalités qu’elles subissent. Le travail, l’indépendance, l’autonomie des femmes, ne sont toujours pas acceptés et parfois brutalement combattus.
Au contraire, ces comportements atroces à l’encontre des femmes semblent être considérés comme acceptables, au regard de l’indifférence et de l’inertie des autorités locales. Cette ville dont provient une part importante du pétrole exporté est pourtant censée être très sécurisée. Il est inadmissible que de telles agressions aient lieu sans que les pouvoirs publics algériens ne s’emparent de cette situation afin de réprimer les violences, et garantir les libertés et droits des femmes.
Occupez-vous des femmes en France et donner des leçons aux autres ensuite.
Rédigé par : Démagogie | 15 mai 2010 à 23:53
Au secours Stéphane Pocrain! Ces femmes n'ont même pas le téléphone Bartolone.
Rédigé par : Stéphane Pocrain | 09 mai 2010 à 12:36