Parentale, culturelle, raciale, religieuse, militaire, financière (telle la prostitution) ou tout simplement gratuite, la violence, quelqu’en soit la forme, qu’elles qu’en soient les sources, quelle qu’en soit la victime, rien ne la justifie et encore moins ne l’excuse.
Les évènements qui se déroulent à Hassi Messaoud, ville
située au centre de l’Algérie place la violence perpétuée à l’encontre des
femmes au cœur du débat. Spectateurs passifs ou agents actifs, ce n’est là que
manifestation d’un esprit putride dont la bestialité doit être jugée et
condamnée. La tolérer c’est y prendre part.
Avant que l’indifférence annihile
toute humanité, l’éveil d’une conscience massive et engagée est indispensable. Il
est impératif de se mobiliser massivement et de soutenir toute action mise en
œuvre pour dénoncer, prévenir, accompagner et protéger les victimes avant que
la femme ne devienne une ‘espèce en danger’.
Portées par ce sentiment, un
certains nombres d’association, dont nous saluons l’investissement et
l’efficacité ont vu le jour. Des études approfondies menées par des
professionnels ont permis d’élaborer des plans d’action avec une panoplie de
solutions concrètes.
Il eu été salutaire que ce sentiment se propage et gagne le
cœur des dirigeants des pays où de telles atrocités sont perpétrées afin que la
liberté se constitue en droit pour tous, femme comprise.
Le Groupe des Elu(e)s Socialistes et Républicains d’ Aubervilliers
rectification message pour cette article:
je trouve remarquable votre soutien, ce qui fait de vous au niveau international un partie engagé et solidaire. Cependant, je trouve qu'il faut néanmoins avoir le respect et le courage de répondre à des problématiques de terrain , devenant invivable et parfois dramatique pour les albertivillariens et albertivillariennes.
Rédigé par : inconnu | 26 mai 2010 à 18:42