Fin septembre, la ville de Paris lançait un appel d'offres pour s'équiper de 400 bornes WiFi. Charenton-le-Pont, petite ville de 30 000 habitants, lui a damé le pion. Depuis septembre, on peut s'y connecter gratuitement en WiFi, dans une dizaine d'établissements publics : deux bibliothèques, le Centre communal d'action sociale, le théâtre des Deux-Rives, le marché couvert, le conservatoire de musique, le pôle intercommunal de l'économie et de l'emploi, l'espace Toffoli, et l'Hôtel de ville. Pas besoin de s'identifier : l'accès n'est ni sécurisé, ni conditionné à une inscription. Il suffit d'activer la connexion WiFi de son ordinateur portable - ou de son téléphone mobile - pour surfer. Un système de filtrage interdit l'accès aux sites à « caractère illégal ». L'investissement, consenti à hauteur de 80% par la région Ile-de-France, est léger : 3500 € au total. Les établissements concernés étaient déjà reliés au réseau municipal par fibre optique, suite à un projet mené en 2004.
Peut-c3aatre qu'il y aurait plus de mc3a9decins, si ces denirers n'imposaient pas un Numerus Clausus aussi important? (en rc3a9ponse c3a0 votre argument Passez vos c3a9tudes de mc3a9decines .)Et, je pense qu'il existe, mc3aame dans les ZUS, des coins pas totalement malfamc3a9s, et j'habite dans une ZUS, et j'ai jamais eu de problc3a8me, et pourtant j'ai rien du stc3a9rc3a9otype brandi par l'UMP de la jeune racaille des banlieues qui deal et c3a9coute du rap en agressant les passants, STOP c3a0 ce Mythe.
Rédigé par : Carlos | 12 octobre 2012 à 04:29