Par Marc Guerrien,
Ce week-end à Reims, comme on pouvait le redouter, les
ambitions personnelles, notamment des chefs de file de certaines motions ayant
eu une attitude intransigeante dans un contexte de fragmentation qui appelait
pourtant au compromis, ont pris le dessus sur le souci de l’intérêt général. Il
en résulte une situation de crise qui, comme l’ont souligné les premiers
signataires de la motion A, Bertrand Delanoë et Pierre Moscovici, retirés
d’eux-mêmes de la course dans le souci de l’intérêt du parti, perdurera au
lendemain du vote des 20 et 21 novembre, quel qu’en soit le résultat...
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