Pour vous et avec vous !

Obséques d'Annike Kélébé

Les obsèques d'Annike Kélébé seront célébrées :

Jeudi 15 juillet à 15h30
Église Notre Dame Des Vertus

Pour respecter le choix d'Annike, merci de ne pas être habillé en noir.

La crémation aura lieu en présence seulement de la famille et des proches.

Le groupe des élu(e)s socialistes et républicains d'Aubervilliers

Annike Kélébé

Très triste nouvelle ce matin nous informant du décès de notre collègue, camarade et amie Annike Kélébé. Nous nous y attendions mais pour celles et ceux qui ont pu connaître Annike, le choc est très dur.

Énergie, volonté et joie de vivre étaient les mots qui venaient instantanément à l’esprit quand on la voyait au bas de « sa » tour, au marché ou lors de réunions.

Une femme debout, droite, honnête et de convictions, dont on ne pouvait qu’apprécier la franchise de ses propos et la liberté de sa parole.

Annike c’était aussi l’engagement pour les autres, engagement qu’on ressentait comme totalement naturel presque vital. Vente du muguet, organisation du Téléthon et simple coups de main en tous genres la mobilisaient et mobilisaient souvent par la même occasion sa joyeuse bande de copines de la rue Firmin Gémier... De vrais moments de bonheur qui resteront gravés dans nos mémoires.

Du courage, elle en a fait preuve jusqu’à l’admiration de tous quand il lui fallut affronter coups sur coups les maladies de ses proches puis la sienne. Jusqu’au bout, sa détermination à suivre ses soins et sa discrétion à en parler ont montré une force de caractère peu commune et remarquable.

Les élu(e)s socialistes et républicains saluent la mémoire de leur camarade qui va leur manquer terriblement et adressent à son mari et à ses filles toutes leurs sincères condoléances.

Benoît Logre
Adjoint au maire
Président du groupe socialiste et républicain

Guide "Garder son toit, comment éviter l'explusion"

Ce guide a été conçu pour vous aider à éviter une expulsion locative, à vous ou à l’un de vos proches. Il vous donne toutes les clés pour savoir comment réagir face à une menace de ce type. Quelles sont les erreurs à ne pas commettre ? Quels sont les engagements à respecter ? À chaque étape d’une procédure d’expulsion, des possibilités d’y mettre un terme existent pour les locataires de bonne foi. Par défaut d’information, ces possibilités sont trop peu saisies. Dès lors la situation empire jusqu’à devenir irréversible. « Je ne peux pas payer mon loyer ce mois-ci, que faire ? », « Je viens de recevoir un commandement à payer d’un huissier, comment me retourner ? », « J’ai reçu une convocation au
Tribunal d’instance, puis-je encore m’en sortir ? »... À toutes ces questions, ce guide apporte des réponses précises. Il vous renseigne sur la démarche à suivre et vous évitera de tomber dans le piège de quelques idées reçues qui, si l’on y croit, aggrave encore plus la situation.
En plus du service municipal de Prévention des expulsions locatives, d’autres structures, institutions ou associations, sont à même de vous donner les bons conseils et de vous
accompagner dans les démarches à entreprendre. Vous en trouverez également la liste dans de ce guide. En comptant qu’il vous soit d’une réelle utilité.

Soumia Zahir

Conseillère municipale déléguée à la Prévention des expulsions et au suivi du droit au logement opposable

Feuilleter le guide

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Délivrance d’un passeport en 3 jours, mirage ou amélioration durable ?

Ces dernières années, les délais de délivrance des titres d’identité en Seine-Saint-Denis ont atteint des sommets : 3 mois pour un passeport et 50 jours pour une carte d’identité.

Or ces derniers jours, des habitants de notre département ont eu l’agréable surprise de recevoir leur passeport au bout de quelques jours. Plusieurs habitants de Pantin ont obtenu leur sésame au bout de seulement 3 jours !

En fait, il semblerait que les délais moyens soient de 10 à 15 jours pour un passeport dans le département, ceux des Cartes Nationale d’Identité restant en revanche de 8 à 9 semaines contrairement au 1 mois annoncé par la préfecture.

Si ces délais de délivrance des passeports se confirmaient dans les mois qui viennent, ce serait naturellement une grande victoire pour les élus de gauche de notre département.

Après avoir nié le problème durant des années, le gouvernement semble avoir enfin entendu les protestations des parlementaires et des maires confrontés à la colère légitime de leurs administrés, contraints d’annuler rendez-vous professionnels et vacances en famille faute de recevoir à temps leurs titres d’identité.

Depuis 2006, je n’ai pas cessé de réclamer des moyens supplémentaires - 8 questions au gouvernement et interventions auprès des ministres de l’Intérieur successifs - pour mettre fin à une inégalité de traitement inacceptable entre les habitants de la Seine-Saint-Denis et ceux des départements voisins. L’inaction et l’indifférence du gouvernement m’avait conduit en février dernier à saisir la Haute Autorité de Lutte contre les Discriminations et pour l’Egalité afin d’assurer l’égalité républicain aux habitants de notre département.

Je me méfie des mirages comme des miracles. C’est pourquoi, je veillerai à ce que cette amélioration perdure et resterai mobilisé pour que les délais de délivrance des cartes d’identité soient également réduits.

Claude Bartolone,
Président du Conseil Général de Seine-Saint-Denis.

 

Lettre des élus n°4

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Au sommaire de ce numéro

Changer à gauche !
par Benoît Logre , Adjoint au maire, Président du groupe des élu(e)s socialistes et républicains.

S'informer pour mieux agir !
par Edgar Minimbu , Conseiller municipal délégué à la jeunesse

Trois questions à Tunis Theuriez-Azzouz, Adjointe au Maire, accompagnement à la scolarité, éducation à l'altérité

Communiqué : l'intervention israélienne sape toute éventualité d'un règlement pacifique

Le groupe des élus socialistes d'Aubervilliers dénonce des violences inacceptables à Hassi Messaoud

Des mesures inacceptables!
par Daniel Garnier, Adjoint au Maire. Enseignement maternel, primaire et secondaire

Téléchargement Lettre des elus n°4

Juin : le mois des examens

En ce mois de juin, nous adressons nos plus sincères encouragements et nous souhaitons une bonne réussite à toutes celles et tous ceux, élèves et étudiants de Plaine Commune, qui passent leurs examens de fin d’année scolaire ou universitaire.

Les difficultés pour entrer dans le monde du travail constituent une réalité très dure à laquelle sont confrontés de nombreux jeunes qui vivent dans les huit villes de Plaine Commune. Dans ce parcours d’obstacles pour décrocher un premier job ou un stage professionnel, l’obtention d’un diplôme sanctionnant un niveau d’étude général ou des compétences spécifiques constitue incontestablement un passeport déterminant.
Or, beaucoup trop de jeunes d’une même tranche d’âge n’y parviennent pas. L’entrée dans le monde du travail et dans la vie active est synonyme dans trop de cas de précarité de l’emploi et de désarroi. Et pourtant, des exemples de réussite démontrent qu’il n’y a pas de fatalité sociale qui tienne.

Il faut souligner et encourager le travail des enseignants et des éducateurs du territoire pour permettre aux jeunes de s’épanouir à l’école. Des familles font également souvent preuve d’une détermination admirable pour soutenir la scolarité de leurs enfants en tentant de tirer profit aux mieux de ce qui est mis en œuvre pour cela à l'école et autour de l’école.
Mais les résultats des études statistiques sont malheureusement clairs: Bon nombre d’enfants de Plaine Commune sont en difficulté scolaire dès l’école primaire et leurs chances sont très faibles d’accéder un jour à des études supérieures alors même que le territoire intercommunal compte deux universités et de nombreux organismes de formations et de recherche.

La conquête d’une réelle égalité des chances pour la réussite à l’école doit donc faire l’objet d’une mobilisation massive de la puissance publique. L’école est au cœur du pacte républicain et la réussite scolaire est aussi une arme pour lutter contre les discriminations.
Beaucoup de jeunes du territoire ont ce potentiel formidable en eux, cette énergie indispensable pour faire bouger les lignes.
Bon courage et bonnes vacances à tous.

Les élus socialistes
Groupe PS Plaine Commune

Des mesures inacceptables !

Le gouvernement, pour réduire le nombre de fonctionnaires, envisage, entre autres mesures, l’augmentation du nombre d’élèves par classe, la suppression de postes de RASED ainsi que le remplacement des maîtres absents par des vacataires.
Trois mesures qui ne peuvent que remettre en cause la réussite scolaire sur notre commune dans laquelle un nombre non négligeable d’élèves sont en grosses difficultés.
De quoi parlons-nous quand on parle de nombre d’élèves par classe ?
A Aubervilliers, dans les écoles ayant « l’étiquette ZEP », le  nombre d’élèves par classe est de 25 en maternelle et 23 en élémentaire. Pour les autres (Firmin Gémier, Gérard Philippe, Vallès, Varlin, Louise Michel, Doisneau, Jean-Jacques Rousseau), respectivement 27 et 25. Pour être honnête, ces derniers chiffres, suite à la mobilisation des parents, des équipes pédagogiques et de la municipalité  ainsi que la reconnaissance par l’Inspection Académique de nos difficultés, ne sont pas appliquées pour l’instant. Les écoles qui ne sont pas ZEP sont assimilées ZEP pour ces normes d’encadrement.
Attention, il ne s’agit que d’une moyenne par école. La réalité dans les classes est autre : le nombre d’élèves peut osciller entre 22 et 27, la structure de l’école n’étant pas toujours facile à constituer.
Augmenter d’un élève par classe ces moyennes, comme le suggère le gouvernement, peut entraîner pour nos écoles qui sont de grosses écoles -la plupart ont de 15 à 17 classes en élémentaire,- une suppression de classe à minima par groupe scolaire !

Inadmissible ! ! !

Pour les réseaux d’aide  aux élèves en difficultés, une première tentative du gouvernement avait entraîné la disparition de trois maîtres E (à dominante pédagogique) dans nos écoles, il est vrai remplacés par trois maîtres supplémentaires à la rentrée de septembre 2009.
Alors qu’un rapport récent vient de pointer la nécessité de maintenir ces RASED dans l’aide aux élèves en grandes difficultés, beaucoup plus performants que l’aide personnalisée réalisée par les enseignants non spécialisés, le gouvernement récidive et reprend ses attaques contre ces personnels malgré les garanties que nous avions obtenues concernant ces suppressions.
Les rapports récents du très libéral Institut Montaigne et de la cour des comptes, beaucoup plus pragmatique, s’ils donnent des pistes pour améliorer la réussite scolaire, n’avaient même pas envisagé ces propositions…

Lamentable ! ! !

Alors que le scandale des absences non remplacées a cette année pris une dimension particulière en nombre, le gouvernement envisage de faire remplacer les maîtres absents par des vacataires.  Certains diront peut-être que c’est mieux que rien mais comment peut-on envisager de remplacer des heures de cours par des heures de garderie ? Car c’est de cela qu’il s’agit. C’est se moquer des élèves, de leurs parents et faire peu de cas de la lutte pour la réussite scolaire de tous.
En quoi les élèves devraient être défavorisés parce que leur enseignant est absent ?

La mobilisation contre ces mesures doit être à la hauteur de la provocation du gouvernement.

Je prends contact dès aujourd’hui avec les parents d’élèves, les équipes pédagogiques et les syndicats enseignants pour organiser, sur notre ville une riposte proportionnelle aux attaques du gouvernement.

Daniel Garnier
Adjoint au Maire. Enseignement maternel, primaire et secondaire

Interpellation du SIRESCO

Téléchargement 004-10

Le sénat s'inquiète à son tour du danger pesant sur les départements

Hier, mercredi 5 mai, j’ai tenu à être présent à la table ronde qu’organisait la Commission des Finances du Sénat pour débattre de la situation financière des départements, en compagnie notamment de François Baroin, Gilles Carrez et Pierre Jamet.

J’ai constaté que mon cri d’appel était relayé et partagé sur tous les bancs parlementaires, y compris ceux de  la majorité : oui, les départements sont en danger, oui il faut y répondre au plus vite !
Par conséquent, le rapport Jamet qui préconise un délai d’attente de deux ans me semble sur ce point totalement irresponsable. En 2010 ce sont 28 départements qui sont dans le rouge. Il y en aura 44  au bord du précipice en 2011.

Voilà pourquoi j’ai appelé le gouvernement à intervenir rapidement sur ce dossier, car les départements ont trop longtemps pâti des transferts de charges non compensés et des prises d’otage de l’Etat sur des cofinancements d’infrastructures.
Dans ce contexte, un hypothétique gel des dotations de l’Etat aux collectivités, comme le préconisaient Gilles Carrez et François Baroin, est un non-sens total. Si l’annonce en était faite, elle serait probablement le catalyseur de la révolte qui gronde dans un grand nombre de départements.

J’ai également voulu revenir, au cours de cette table ronde, sur l’analyse erronée du rapport Jamet concernant les dépenses de personnel de la Seine-Saint-Denis : celles-ci sont tout à fait dans la moyenne de celles des départements comportant une métropole et ne méritaient donc pas d’être brocardées bouc émissaire des difficultés financières du département.

L’Etat est donc face à ses responsabilités dans ce dossier : il ne peut ignorer cette colère qui monte de tous les rangs de la République. J’attends donc qu’il intervienne de toute urgence, notamment en Seine-Saint-Denis
et ne baisserai pas les bras avant d’avoir obtenu le dû des habitants de mon département.

Communiqué de Claude Bartolone,
Président du Conseil Général,
Député de la Seine-Saint-Denis

Le Groupe des Elu(e)s Socialistes et Républicains d’Aubervilliers dénonce les violences inacceptables à Hassi Messaoud

Parentale, culturelle, raciale, religieuse, militaire, financière (telle la prostitution) ou tout simplement gratuite, la violence, quelqu’en soit la forme, qu’elles qu’en soient les sources, quelle qu’en soit la victime, rien ne la justifie et encore moins ne l’excuse.

Les évènements qui se déroulent à Hassi Messaoud, ville située au centre de l’Algérie place la violence perpétuée à l’encontre des femmes au cœur du débat. Spectateurs passifs ou agents actifs, ce n’est là que manifestation d’un esprit putride dont la bestialité doit être jugée et condamnée. La tolérer c’est y prendre part.

Avant que l’indifférence annihile toute humanité, l’éveil d’une conscience massive et engagée est indispensable. Il est impératif de se mobiliser massivement et de soutenir toute action mise en œuvre pour dénoncer, prévenir, accompagner et protéger les victimes avant que la femme ne devienne une ‘espèce en danger’.

Portées par ce sentiment, un certains nombres d’association, dont nous saluons l’investissement et l’efficacité ont vu le jour. Des études approfondies menées par des professionnels ont permis d’élaborer des plans d’action avec une panoplie de solutions concrètes.

Il eu été salutaire que ce sentiment se propage et gagne le cœur des dirigeants des pays où de telles atrocités sont perpétrées afin que la liberté se constitue en droit pour tous, femme comprise.

 

Le Groupe des Elu(e)s Socialistes et Républicains d’ Aubervilliers