François Hollande, qui était notamment accompagné de son directeur de campagne Pierre Moscovici, de la députée de Seine Saint Denis Elisabeth Guigou, et de sa compagne Valérie Trierweiler, a rencontré le chef de file de l'opposition polonaise, l'ancien Premier ministre Leszec Miller.
Lors de son entretien avec le président polonais, il a réitéré son engagement à réviser le pacte budgétaire européen "pour y ajouter les éléments qui manquent: la croissance, les grands projets en commun, les instruments financiers, comme les eurobonds qui pourraient nous donner la capacité de réactiver l'économie européenne".
Il a précisé avoir évoqué également des questions relatives à l'Otan, notamment la présence des troupes de la coalition occidentale en Afghanistan. François Hollande entend retirer les troupes françaises dès 2012.
"J'ai demandé au président de transmettre les positions qui étaient les miennes concernant les questions européennes au Premier ministre", a indiqué le candidat socialiste. En déplacement électoral à Nice (Alpes-Maritimes), Nicolas Sarkozy a de nouveau dénoncé, sans citer son rival principal, l'attitude "irresponsable" qui "consiste à ne pas ratifier un traité aussi important pour la solution de problèmes qui sont ceux de toute l'Europe".
François Hollande a regretté l'"indécision" et la "tergiversation" de l'Europe dans la résolution de la crise grecque. "A quel prix pour les Grecs, à quel prix pour les pays européens", a-t-il déploré au lendemain de l'opération d'échange d'obligations grecques.
Madame Guigou
Toujours partout sauf à Aubervilliers...
Rédigé par : Luminothérapie | 13 mars 2012 à 15:56
François Hollande a regretté l'"indécision" et la "tergiversation" de l'Europe dans la résolution de la crise grecque.
dixit votre compte rendu... parce qu'en matière de décision, hollande s'y connait comme on l'a vu sur les gaz de schistes... où le PS s'est courageusement abstenu!
Rédigé par : Ne pas confondre indécision et abstenyion offensive | 12 mars 2012 à 00:03
En mai 2012 François Hollande sera élu Président de la République.
On s'habitue trés vite aux fastes de la République, même si celle-ci est surendettée.
Pour les grandes entreprises françaises ce sera un jeu d'enfant de corrompre François Hollande. Faire du chantage à l'emploi ça devrait bien marcher aussi.
Quand les cadeaux à 2 ou 3 millions d'euros arriveront sur son compte bancaire, François Hollande perdra les pédales.
Qui sera le futur Jean-Charles Naouri, à qui la gauche abandonnera le pouvoir économique ?
Rédigé par : citoyen_plaine_commune | 10 mars 2012 à 16:58